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Isabelle Mimouni poursuit son travail sur Polytropiques

mercredi 21 décembre 2016

Séance du 30 novembre

ATELIER ECRITURE : SEANCE DU 30 NOVEMBRE

Personne n’a commencé à écrire. Les premiers choix d'écriture se dessinent.

Héloïse : Forme poétique                                                                                                                                                               Remarque : Il est difficile de hiérarchiser ses notes, d'où la nécessité de trouver un fil conducteur. 
Elise : Partir du point de vue de la statue.
Théo Tsuji : Faire un poème tout en le schématisant, faire de petits poèmes en mosaïque.
Esther : Forme poétique                                                                                                                                                     Remarque :  Sur quels éléments se centrer ? Beaucoup de choses ont attiré l’attention, il est donc difficile de choisir.
Théo Tellez : Journal intime, digression poétique en prose, partir d’éléments concrets, trouver un sens détaché du réel, aller vers le fantastique.                                                                                                                 Remarque : Comment fonctionner par rapport à la digression ?
Aya: Deux idées :                                                                                                                                                                                1)Transcrire la voix d’une personne qui juge la scène avec le point de vue de la statue                            2) Ecrire une critique cinématographique de la scène, comme si nous avions été spectateurs. Mais problème du film : comment organiser l’histoire ? Il ne doit pas forcément y avoir une histoire. Proposition de Timothée : Faire une page de type Allociné ou choisir une scène, une amorce d’intrigue sans avoir à la construire.                                                                                                                        Proposition d'Ijou : Faire une critique sur l’esthétique du film, une scène qui a particulièrement marqué.
Eléana : Article de journal, récit fantastique ou focalisation d’un enfant : faire un article avec des rubriques qui seraient des témoignages "un an après" avec le regard d’un enfant (émerveillé) et introduire la notion de mémoire "pourquoi il n’y a rien alors que les « méchants » sont venus faire du mal ? » = Opposition entre ce qu’un adulte et un enfant voient. On remarquerait une perte de la spontanéité, une évolution du point de vue et ce que l’adulte ne voit pas.                                                                            On peut aussi reprendre Le Petit Journal : interview de Martin Weil de 2015 --> l’enfant corrigé par son père. On peut imaginer qu'ils soient à nouveau interviewés.                                                                                                             Il faut tout de même se poser deux questions : quel est le journal ? (Le Petit Quotidien ?) Quel est la cible de ce journal ?
Remarque :  Possibilité de faire deux textes offerte à tous les élèves.  
Ijou : Inspiration de La Belle du Seigneur d’Albert Cohen : Ariane traversée par ses pensées, passage sans aucune ponctuation.                                                                                                                                                                 Remarque : Cependant, comment faire le lien entre les pensées qu’on a eues sur le moment et la description ? Cette absence de ponctuation pourrait le permettre et puis c'est éprouvant pour le lecteur donc on peut rapprocher cela à la tentative d’épuisement (Perec).                                                                 Finalement, au lieu de décrire, on peut (seulement) rendre compte de ce qu’on a pensé.  
Maya : Paroles de chanson                                                                                                                                                               Le refrain symboliserait les éléments qui reviennent souvent tandis que les couplets seraient différents points de vue. Mais, il y a le problème de la musique. Est-ce qu'on enregistre les textes ? Il faut aussi greffer ce texte à une musique appréciée ou créée.
Clémentine : Nouvelle fantastique avec le point de vue de la grisette. La statue serait en contact avec un mort (en rapport aux attentats), il demanderait constamment à la grisette : "est-ce que ça a changé ? Qu’est-ce que tu vois ?" Cependant, ce n'est pas facile d’un point de vue émotionnel. De plus, il faudrait retrouver les portraits des victimes et en choisir une.
Loes : Poème dans lequel on insère des flashs pour perturber le fil du texte. Avec une description précise, le lecteur se rendrait compte du lieu décrit. Il faut aussi insister sur les feux rouges (alerte, flashs, quelque chose qui revient de manière inquiétante) mais le poème n’est peut-être pas adapté car il est trop institutionnel – La description peut être écrite à la manière de Balzac, Maupassant, c'est-à-dire, très typée et normale dans laquelle on pourrait introduire des phénomènes de distorsion. Proposition de Théo Tsuji : Garder le poème et faire comme Rimbaud dans Le Dormeur du Val : la deuxième lecture permet de comprendre le poème d’une autre façon.                                                             Timothée propose une mise en page particulière, par exemple passer à une lecture verticale. 
Anaëlle : Nouvelle inspirée de Salinger. La personne qui raconte l’histoire est en terrasse et observe un contraste entre l’endroit et les actes. La chute serait le lieu qui est celui des attentats. Il y a donc un travail sur l’insolite.
Laura : Prendre le point de vue au sein d’une nouvelle d’un anonyme ou d’un rescapé qui se rappelle des évènements et aborder l’écriture avec une description mécanique à la Perec pour poser le cadre puis introduire au fur et à mesure les éléments humains puis de l’espoir. La chute serait le réveil, le monde dans lequel on vit et déception.
Remarque : La meilleure chute ne serait-elle pas que ce qui est marqué par le rêve est en accord avec la réalité, les attentats n’ont rien changé, l’espoir est toujours là.
Léa : Genre fantastique. Produire deux textes. Le premier porté sur un individu qui n’est pas de ce monde (faille temporel) et doit rencontrer quelqu’un, se pose alors à la Bonne bière et adopte un regard suspicieux sur les passants dans l’attente du rendez-vous avec l’inconnu.
L’autre texte porte sur l’introduction d’une interaction silencieuse avec le portrait de Frédéric Lemaitre : focalisation sur le lieu, son messager l’amène à l’écluse et passage dans un autre monde (canal ensoleillé…)
Remarque : Il est important de distinguer les deux textes. Permet une focalisation sur les différents personnages et ce qu’ils sont censés apporter. Cependant réfléchir sur la transmission et l’interaction.
Salomée : Forme brute avec une allusion aux attentats. Récit d’une personne venue parce qu’elle a perdu quelqu’un, il y a une recherche de l’émotion. La personne qui revient n’est plus la même : perte de l’innocence, de l’enfance ...
Remarque : Faire attention à ne pas être submergé par l’émotion, il est préférable de choisir une logique de distanciation. Il faut réfléchir à la perte d’un univers. Référence à la logique de mémoire avec Kundera. La personne est venue chercher quelque chose qu’elle ne trouve pas.
Colombe : Focalisation sur les sens, qu’est-ce que je vois, entends ? Comment la mémoire s’inscrit dans les lieux à travers les sens ? Travail sur les ressentis et leur signification car la mémoire est rappelée par les sens. Remarque : Très proustien mais difficulté car les sens vont concerner la mémoire de ce qu’on a vécu le 5 et non pas le 13 novembre. Travailler sur deux types de mémoires : intime et historique.  Penser à regarder la première gorgée de bière.Chloé :  S’attarder sur les détails et faire des digressions à partir de cela. Partir sur le vélib' (le symbole de la roue renvoie à une notion de cycle qui peut être une réflexion sur le cycle de la vie). Lors de notre observation, il y a eu un accident de vélo.
Aude : Dialogue innocent qui semble complètement hors des évènements mais qui relate tout ce que les personnes voient avec des propos subtils et des inserts de moqueries, allitérations, assonances…
PROPOSITION : Faire une parodie d’Harry Potter avec le Monde des moldus, notion de fantastique : comment réagirait un sorcier dans un monde de moldus ?
Lise : Journal intime, remplacer les traditionnelles dates par les propos relatés minute par minute et introduire des dessins, des illustrations.
Remarque :  Réfléchir sur le sens que l’on peut donner au texte dans son rapport à l’image, l’image et le texte peuvent être complémentaires ou ironiques…
Amandine : Exercice de style, dans l’optique d’épuisement du lieu, réécrire plusieurs fois le même texte.
Remarque : la difficulté se trouve dans le fait qu’il faut une certaine quantité de textes (au moins 5 ou 6).
Timothée : Faire parler trois objets très cyniques envers les êtres humains. Notion de fantastique puisque adopte le point de vue d’objets : cendrier dépressif qui devient plus heureux dans sa relation avec les humains…
Remarque : possibilité de faire une vanité avec un cendrier, l’écluse, le verre à moitié plein/vide, les feuilles mortes…mais les objets doivent être inscrits dans une logique.
PROPOSITION : Idée de construire une vanité à partir d’un lieu
Mme Mimouni : Associer à ce lieu les différents souvenirs liés à celui-ci (exemple de la barrière qui n’était pas plus haute que la tête). Il s’agirait donc de multiplier les strates de souvenirs et de superposer des souvenirs associés à ce lieu.
PROCHAINE SEANCE : 11/01 : Commencer à rédiger.


lundi 21 novembre 2016

Compte rendu séance du 16 novembre

ATELIER ÉCRITURE : SÉANCE DU MERCREDI 16 NOVEMBRE 2016
Nos impressions après le 5 novembre et les 2 heures d'observation :
  • Très fatigant, très intense
  • Le temps passe vite car nous avons beaucoup d’informations à gérer.
  • Les réactions des gens sont intéressantes à étudier : quand on était assis à la bonne bière, les gens ne faisaient pas particulièrement attention à nous (sauf le garçon de café), mais pendant la période de déplacement les gens semblaient même « inquiets » de voir des gens adossés au mur en train d’écrire. (Timothé)
  • Notre regard sur Paris change a posteriori, on apprend à observer une ville dans laquelle on vivait déjà. On se rend compte à quel point on est absents au monde. (Tara)
  • Cette expérience de description est très analytique. On réfléchit sur la temporalité, les interactions humaines, l’esprit français par exemple.
  • On note un changement d'atmosphère très frappant entre le matin (où passent des voitures banales grises, noires...) et le soir (Corvette fluorescente).
  • Il est parfois difficile de respecter la neutralité du protocole prescrit car les dialogues des gens autour étaient très prenants, surtout le soir. Contrairement aux conversations le matin très banales. (Ijjou)
  • On peut observer l’évolution de l’activité des passants pendant 2h d’observation. Pour l’horaire 18h/20h par exemple, en fin de journée (18h), les gens semblaient très affairés et fatigués. Puis au fur et à mesure que l’on se rapprochait des 20h, l’état d’esprit général semblait se détendre, les passants commençaient à profiter de leur « sortie du samedi soir ». (Colombe)
  • On peut constater une impudeur des gens, surtout le soir, qui parlent aisément de sujets qui pourraient être des « tabous » (suicide, drogue, sexe). (Timothé)
  • Nous sommes beaucoup plus sensibles à des petits détails qui peuvent avoir un impact important sur la perception du lieu (par exemple au passage d’une éclaircie, aux changements de lumière).
  • Frustrant comme exercice car il y avait tellement d’éléments à capter qu’on voulait tout saisir.
  • Personne n’a parlé des attentats.
  • Attention focalisée sur la couleur rouge qui peut prendre un ordre symbolique (le sang, mais aussi l'enfance...).

A propos du format que prendra le projet de chacun :
Comparaison avec l’expérience de l’an dernier :
Remarque de Mme Mimouni : En comparaison avec l’an dernier, la quantité d’informations est si importante cette année que cela simplifie les choses : l’œuvre collective ne devra pas forcément utiliser des formats très variés pour avoir une diversité.
  • La nouvelle : est un ensemble narratif, avec une intrigue et un petit nombre de personnages. Les particularités de la nouvelle : une intrigue brève, donc centrée sur une action et pas vraiment des péripéties. De plus, la nouvelle est construite par rapport à sa chute (qui peut prendre des formes multiples).
=> Difficultés : notre exercice est centré autour d’un lieu alors que la nouvelle est centrée autour d’une action et de personnages. De plus, a-t-on rencontré beaucoup d’éléments d’intrigue et/ou de personnages insolites ?
Ainsi, pour choisir la nouvelle, il va falloir faire appel à notre imagination, introduire des éléments fictifs.
  • La poésie : est un univers qui favorise la mise en évidence des perceptions. De plus, nous sommes plus libres de ne pas instaurer une chronologie, ce qui permet de rester plus proche de l’exercice que nous avons effectué.  
La poésie est aussi le genre des émotions, ce qui peut nous faciliter la tâche pour transmettre les émotions que nous avons ressenties (par rapport à la temporalité, aux attentats) -émotion qui pose une véritable question sur ce lieu où toutes les traces des attentats ont été gommées.
  • Calligramme  (Théo a émis l’idée d’une fresque) : cela mêle l’écriture et le visuel, donc est très proche de l’exercice de description d’un lieu géographique.
  • Article : (par exemple : un fait divers, un article « 1 an après » comme il y a eu dans la presse le week-end du 12/13 novembre). Ce format est moins intime, plus sociologique voire historique. L’article nécessiterait un retour plus important sur les attentats du 13 novembre.
  • Journal : est peut-être la forme la plus proche de l’expérience vécue car permet de rapporter les émotions, réflexions à la première personne. Le journal est plus intime que l’essai, or  l'expérience faite ne relève pas tant de l’observation que de l’analytique. On peut penser aux Choses vues de Victor Hugo. Le journal permet d'articuler facilement analyse et perception.
  • Essai : est une réflexion construite à propos d’une expérience personnelle ; l’essai est plus analytique que le journal.

Etude du texte de Claude Romano, Le chant de la vie, phénoménologie de Faulkner. comme piste de réflexion  pour une forme d'écriture :
La distinction entre le paysage et la géographie.
Dans notre expérience, on a toujours abordé le lieu en tant que paysage dans lequel évoluent des sujets qui se déplacent dans l'espace de proximité en proximité. Cela suppose une continuité du lieu bornée par le champ du visible.
Aborder le lieu de manière géographique (en supprimant le regard du sujet) pourrait signifier :
  • Décrire l'espace comme une vue aérienne.
  • Décrire ce qui n'apparaît pas dans le paysage mais qui a des coordonnées géographiques (l’écluse).
  • Se concentrer sur la disposition urbaine du lieu (la diversité d’espaces : les endroits de restauration côtoyant l'îlot que constitue le jardin).
Autrement dit, voir l'espace autrement : il est possible de décrire de façon désolidarisée, cataloguée. Il peut aussi y avoir des discontinuités, des ruptures dans notre écriture : une approche totalement objective.
Autres propositions de formats faites par Mme Mimouni :
  • Prendre 10 éléments de départ et les décrire et penser la temporalité à travers ces objets. Pour rendre compte de la dimension chronotopique du lieu.
Par exemple :
    • Le Mc Donalds ( mondialisation => années 90)
    • La statue de Frederick Lemaitre ( théâtre de boulevard du 19ème )
    • La Bonne bière ( 21ème )
    • etc
  • Le récit fantastique : Par exemple, on peut prendre le point de vue d’une des 2 statues (=>La Venus d’Ille, de Prosper Mérimée) et décrire l'espèce de comédie humaine qui se joue sous leurs yeux (=>Balzac), percevoir une dimension mythologique à partir des bateaux qui passent sous le canal (=> Le fantôme de l’Opéra, de Gaston Leroux), décrire l'espace en adoptant une vision distordue de la réalité...
  • Inverser les points de vue : Prendre par exemple celui des garçons de café, qui ont peut-être vécu les attentats, celui des passants qui nous ont observés...
  • Il est possible de faire des excursions, digressions, hors du lieu, hors du champ de vision et/ou encore hors du temps que l’on a délimités :
    • Par superposition : il est possible de faire un récit où on revient sur la soirée des attentats, sur le 19ème siècle, ou sur des souvenirs.
    • Par focalisation : se focaliser sur un personnage en particulier et se laisser aller à des digressions (par exemple, si on voit quelqu’un jeter une lettre dans la boîte aux lettres, on peut imaginer ce qu’il y a écrit ).    
    • Par association : partir du sentiment de manque provoqué par certains objets que l'on a vus sans l’élément habituellement associé (ex : la poussette, la trottinette sans l’enfant).
  • Il est possible de prendre une échelle ou une hauteur différente des nôtres en écrivant. Il est par exemple possible d’imaginer le point de vue d’un lilliputien, d’un moineau ou d’un enfant.
  • On peut aussi se positionner du point de vue d’un urbaniste. Il serait alors possible de se demander comment transformer cet espace urbain.

Pour le 30 novembre : Il faut avoir choisi le format d’écriture que l’on souhaite adopter et si possible commencer à reprendre nos notes, voire à rédiger.


mardi 8 novembre 2016

Séance du 5 novembre

Comme prévu la séance d'observation a eu lieu le 5 novembre entre 10h et 22h.

Le temps a été variable, les groupes de la première partie de la journée ont bénéficié d'un beau soleil d'hiver....

Prochaine séance : mercredi 16 novembre.
Ce sera l'occasion de donner à chacun l'occasion d'exprimer ses impressions sur l'expérience et de réfléchir sur les possibles mises en forme.

lundi 17 octobre 2016



Atelier d’écriture, séance du 12/10/2016

Perec commence par observer les monuments historiques. Nous devrons aussi prendre cet élément compte dans notre observation.

Il observe les micro-évènements (en particulier les mouvements de bus), les signes, les lettres.
Question des limites de l’observation : on ne pourra pas tout voir.
Question de la différence entre les déchirures (micro-événements) et les actions quotidiennes qui s’effacent.

Protocole (le 5 novembre)

Vue :

Repérer les éléments fixes.

Puis les éléments qui vont se répéter.

Repérer les éléments que le lieu met en valeur : éclairage, café, magasins, Canal Saint-Martin…

Déterminer le point de vue : ciel, sol…

Déterminer la focalisation :

Mains, pieds, visages, équipements des passants, les coiffures, les vêtements, expression des visages, démarche (Théorie de la démarche, Balzac), fonctionnement des groupes, les échanges, réactions éventuelles des passants à notre présence, les changements de population qui pourront s’observer dans le temps de notre présence, observer si les passants ont des expériences tactiles, etc.

Eléments architecturaux ou naturels (animaux, plantes), couleurs portées, des enseignes, les matériaux, les publicités

Ouïe :

Le trafic (moteurs, etc.), rumeurs des passants, bruits des pas, le métro etc.

Sons qui pourraient se détacher par rapport aux sons insignifiants.

Chants des oiseaux, vent, feuilles, de l’écluse bruits des bars, musiques qui pourront être contradictoires, sirènes, cloches, etc.

Essayer de repérer les variations de bruit. Calcul des temps de silences.

Touché :

Vrombissements, bruits secrets.     

Question des expériences tactiles.

Odorat :

Odeurs identifiables par rapport aux odeurs inconnues.

Mouvements :

Question du trajet : faire un tour puis être statique ? N’être que statique ?

Le lieu est étonnant : le canal qui disparaît en passant sous terre, les voies, les rues : convergence.

Un temps (une heure minimum) à la Bonne Bière (en terrasse), puis, soit une courte période de pérégrination, puis un deuxième point fixe soit pérégrination uniquement, soit pérégrination et retour à la Bonne Bière. Deuxième temps à déterminer sur place.
Pas d’appareil photo, pas d’enregistrement. Délimitation : Quai de Valmy, Casa Nostra, Palais des Glaces, Passage souterrain du canal.

20h 22h : Anne, Aya, Ijou, Eleana, Maya
18h 20h : Timothé, Colombe, Marie, Chloé, Victorine
16h 18h : Elise, Theo, Esther, Eloïse, Théo (Akira)
14h-16h : Loes, Anaëlle, Clémentine Laura, Aude 
12h 14h : les khâgneux ?

10h 12h : Léa, Tara, Salomée, Lise, Amandine